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dimanche, 31 mai 2009

Un jour...

IMG_0028.JPGUne autre ...

Photo: La peine est bleue rue Pelletier sur le plateau de la Croix-Rousse à Lyon. Vue le dimanche 31 Mai 2009. © Frb.

samedi, 30 mai 2009

Mai 2664 ???

MAI 2664.JPGPour terminer le mois de Mai : une vraie note d'espoir :

NOUS FERONS LA REVOLUTION EN MAI 2664 ! (camarades !)

Le temps de digérer 68, (Mai 1968 !), de laisser couler l'encre, l'eau sous les ponts, nos amours, la Seine, la Saône, de réecouter Grateful Dead, Le temps de lire tout Philippe Bralo, Le temps de se refaire un hénné. Le temps de replanter les cerisiers ...

Je vous donne donc rendez-vous en Mai 2664, sur la place où vous savez. On va tout faire péter, on va leur montrer qui on est . (Heureusement que je ne sais pas compter, sinon je ne sais pourquoi ce billet aurait quelquechose de désespérant...)

Mais je ne sais pas compter. Donc tout va bien.

Photo: Objet posant devant son graff, le tout comme un présage. L'avenir se lit au coin de la rue, arrêtons de chercher notre avenir dans la boule de cristal, "tout est là, petit scarabée"(c.f Kung Fû) "Pour comprendre il suffit de regarder" (disait le vieux marchand chinois qui me vendît mon Mogwaï). Enfin quoi ! un graff, une bière, c'est toujours ça et quelques plans sur la comète vus de notre objectif (gnomique), sur un mur de la rue René Leynaud à Lyon en Mai 2009.© Frb.

jeudi, 21 mai 2009

INCREVABLE 2098, ou le futur révélé par HOZAN KEBO

DALIDA is alive and well...

 

essai copie bis.jpg

 

Reportage exclusif réalisé le 18 Mai 2098 à Lyon par (HK/LR).

samedi, 18 avril 2009

PROCLAMATION MURALE

Demain est annulé ? Tout le monde s'en fout !

quoique...

DEMAIN.jpgJe remercie PIERRE-AUTIN-GRENIER qui a eu l'extrême gentillesse de m'envoyer cette incroyable et très forte "Proclamation murale" photographiée à Saint Louis, par son ami le peintre RONAN BARROT (que je remercie aussi), et qui expose en ce moment là bas : (Si vous passez par Saint Louis, les amis, l'indifférence serait impardonnable, voir ci-dessous un très bel avant-goût de quoi susciter le désir de s'y embarquer exprès) :

http://www.museefernetbranca.fr/page000100bb.html

Depuis quelques mois je rêvais, d'un billet d'où je me serais comme absentée, histoire d'ouvrir d'autres fenêtres et je me réjouis que cette "proclamation murale" soit une première. Comme j'aime beaucoup "rendre à César...", (surtout lorqu'il y en a deux). Je dédie à PIERRE AUTIN-GRENIER et au peintre RONAN BARROT, cette page de bel aujourd'hui, (et de bel aujourd'hui seulement) en forme de graff sidérant.

Je ne peux m'empêcher en contemplant l'image de lier les évidences, le jeu des résonances et trouver une sorte de fil très étrange entre cette forte proclamation murale, et le titre d'un livre de PAG non moins vertigineux : "L'Eternité est inutile".

Prenez le temps jusqu'à minuit de lire l'extrait, et sa musique d'un autre temps, dont on parle sans penser à demain... C'est avant minuit ou jamais, puisque demain ... Rideau !

http://pleutil.net/cote_rue/?date=2002-07-01

Quant à moi, j'anticipe. Et tire ma révérence aux lendemains de "Certains jours" pour quelques escapades hors-monde. Histoire de bien prendre ce graff à la lettre. Au pied du mur, si j'ose dire. (Ce qui n'est certes pas la bonne manière...). Il y aura sans doute un retour, mais comme dit toujours cet ami, (expert en relativité), l'Einsteinien Professeur JB, un de ces chers, qu'on placerait bien entre la photo de RONAN BARROT, et L'éternité vue par PAG, je le cite :

"Tant que c'est pas fait, c'est jamais sûr".

Demain, étant un terme abstrait (hélas !) et parfois même un gouffre. Je préfère vous dire à bientôt ! Bientôt sera un autre jour...

Photo: "Proclamation murale". St Louis. Printemps 2009. Posté par PAG. © Ronan Barrot.

jeudi, 26 mars 2009

Où est le mal ?

"Où me laissé-je emporter, insensé que je suis ? Pourquoi marcher à l'ennemi la poitrine découverte ? Pourquoi me dénoncer moi- même ? L'oiseau n'enseigne pas à l'oiseleur les moyens de le prendre ; la biche n'apprend pas à courir aux chiens qui se jetteront sur elle. Que m'importe mon interêt ? Je poursuivrai loyalement mon entreprise et donnerai aux femmes de Lemnos * des armes pour me tuer"

OVIDE. Extr: "Laisser croire aux amants qu'ils sont aimés" in " L'Art d'Aimer". Société d'édition "Les belles lettres" 1960.

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"L'Art d'Aimer" d'OVIDE (un petit peu détourné), a fortuitement croisé une image problématique au coeur de la presqu'île près de ces petites rues qui bordent Saint Nizier (et son église de style gothique flambloyant). Ce quartier fût jadis, celui des dames aux moeurs légères qui offraient aux messieurs en l'échange de quelques francs anciens et nouveaux, toutes sortes d'illusions, des plus sophistiquées aux plus élémentaires... Certains d'entre-eux, me raconta Christine, (une pute affranchie, tapinant dans sa rue mais aussi, excellente voisine de palier à cette époque désormais révolue), ne venaient que pour s'asseoir à côté d'elle, ressentir la chaleur humaine et écouter quelques mots doux, qui, pour un tarif un petit peu plus élévé, pouvaient être murmurés jusque dans l'oreille ! Certaines de ses collègues, moins compatissantes, surtout moins affranchies, laissaient les bougres dans l'escalier, et n'acceptaient de recevoir que les gars pour la bagatelle, à l'abattage, vite fait, bien fait. Il était sans doute plus compliqué pour elles d'offrir à leurs clients un mensonge habillé, écouter ou parler, juste cela, plutôt que de coucher sans la moindre empathie au prix d'une prestation choisie. C'était donc, Christine cette doyenne, "affranchie au grand coeur", qui recevait les malheureux ; dont certains exigeaient qu'elle leur fasse des... promesses, tarifées bien sûr et jamais tenues. D'autres encore, les mal mariés, les esseulés, abandonnés, venaient la "consulter" (certains même, une fois par semaine, comme chez la coiffeuse ou le psy) pour être simplement consolés. Cela leur suffisait. Et puis ils repartaient heureux, de quoi "tenir" quelques jours, ou un très court instant, peut-être, s'imaginer, aimés... Enfin , c'est ce que nous racontait Christine, une fois sa journée terminée, tandis qu'elle nous offrait le thé, dans cette chambre à la fois miteuse et coquette, au plafond délavé orné de frises adhésives en forme de roses, dans cette pièces à l'odeur indéfinissable, dont les fenêtres qui fermaient mal avaient été camouflées, par de jolis voilages organza floqués fleurs où mille secrets d'Amour et de misère humaine semblaient peser plus lourd que toute la fornication, les vices, ou simplement le sexe, en ces vagues virées éphémères... Fin de partie croisée, digression pour OVIDE : "Laisser croire aux amants qu'ils sont aimés"...

Quant aux femmes de Lemnos * dit la légende, sous le règne de HYPSIPYLE (petite fille de DYONISOS), elles furent punies par APHRODITE pour avoir négligé son culte, la déesse offensée, les affligea d'une odeur insupportable, ce qui inspira aux maris le dessein de les abandonner. Les Hommes préférèrent suivre les belles captives de Thraces et les femmes de Lemnos (les lemniennes) indignées, se vengèrent à leur tour en faisant égorger une nuit, tous les Hommes de leur île. Sauf un ... Mais ceci est une autre histoire. Celle des femmes de Lemnos, nettement moins "fleur bleue" que la pourtant triste vie de Christine en sa presqu'île à Saint Nizier... Les deux sans correspondances spéciales; sinon vaguement l'Art d'aimer... Et si ce n'est pas de l'Art, qu'est ce que c'est ? ...

Photo : Collage à motifs symboliques, posé sur cette saleté de mal (et de mur) où le mauvais sang glisse, comme la bile noire dans tous les genres de mondes où vivent l'Homme et les Femmes. Géant carapacé d'armure, unique et fort portant sur une lame deux petites créatures nues, innocentes et fragiles (évidemment...)  A noter au passage le fameux coup de crayon ;) de l'artiste. Merci à lui. Vu à Lyon, je ne sais plus si c'est rue de la Fromagerie, de la Poulaillerie ou bien rue Longue, (encore 3 mondes assez distincts, baptisés sans chichis) ; au début du mois de janvier 2009. © Frb.

jeudi, 19 mars 2009

On croyait l'art à la masse mais non...

art rue.JPG

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"L'art est à la rue"... Et les artistes aussi !

Cela étant, je laisse au lecteur avisé le soin de la double lecture, la situation étant grave mais pas désespérée, n'est-ce pas ?

Photo : Les escaliers de la butte ( finale ?) sont désormais très rude aux miséreux (c'est à dire aux artistes et à tous les autres, les très nombreux...).

Des mots justes, croisés montée de la Grande Côte à Lyon. (Merci et bravo aux graffeurs). Un conseil aux balladeurs lyonnais, ou à ceux de passage : Pour bien voir cette série (car il y a série tout comme une banderolle), il faut marcher la tête en bas (encore plier l'échine, baisser les yeux, comme toujours) et, au niveau d'un petit mur, longeant une terrasse, presqu'en face du "Trokson" (qui fait bureau de tabac très tard, salle de concert parfois, avec accueil très chaleureux)... Tout en bas, donc, sur votre droite, vous trouverez "à la rue" un peu de rouge, un peu de bleu ,un peu de rouge, un peu de bleu etc... Mots bleus pour une alerte rouge, vus, à la remontée de la pente qui mène au bon plateau de la colline travailleuse, ce jeudi 19 mars 2009. © Frb

samedi, 07 mars 2009

A chacun sa vérité

"Mon opinion représente une vision que j'ai... Jusqu'à ce que je trouve quelque chose qui me fasse changer d'idée."

LUIGI PIRANDELLOa chacun.jpg

Traces et déchirures traversant une palissade, fleurs mauves et tags couleur sang, restes de mots mangés par le passage du temps, les gestes du passant, foisonnements de signes torchés, menés à vide ou significations à venir par de nouvelles tentatives, éclatements de papiers collés ? Pas seulement. Ce qu'il reste. Un fragment du dit collectif. Le bazar significatif. Le plan d'une ville ? Des milliers d'opinions multiples se posent là, en forme de ruine, le sens se perd, on ne peut rien en dire, archive en mille pièces, (de spectacles, d'expressions libres, de revendications, mots scandaleux, qui sait ? ) Des graffs pour rien comme cette fleur mauve visible au milieu du désastre. Du désordre. Cette main aux trois doigts rouge sang. Le ravissement esthétique du multiple où l'on ne se retrouve pas vraiment, dont on ne sait s'il augure le début ou la fin. La vérité ou le mensonge...

Pour les adeptes de la vérité ou du mensonge voir une affiche claire et nette ci-dessous (à noter que celle-ci a été visible environ 3 jours seulement et n'aura pas subi les assauts du temps mais celle plus radicale des brigades nettoyeuses du Grand Lyon :

http://certainsjours.hautetfort.com/archive/2008/06/03/le...

Pour les sceptiques, les sans vérités ni mensonges, amateurs de déchirure, au mieux d'interrogations autre expression murale en forme de ruine celle-ci au fil du temps s'est pour ainsi dire désagrégée, il faudrait que je vous la photographie un certain jour et vous en ramène ce qu'il en reste, autant dire presque rien, à ce jour :

http://certainsjours.hautetfort.com/archive/2008/07/15/le...

Et entre les deux, multiple, mix de flou et de lisible, entre grattage et déchirure, un peu de revendication. ( A suivre, ici,  lors d'un futur repérage) juste pour savoir si parmi trois de ces échantillons, un seul au moins pourrait survivre ...

http://certainsjours.hautetfort.com/archive/2008/06/08/de...

En espérant que vos vérités s'y retrouveront...

Photo : Vu rue Ste Catherine, en plein quartier "chaud" des Terreaux à Lyon, un soir de février 2009. © Frb

vendredi, 06 mars 2009

Boulangerie - Tapisserie

la boulangerie fait tapisserie.JPGLa boulangerie fait tapisserie les jours de fermeture.

Photo: Vieux monde et nouveau monde exposés en remix, sur une ancienne façade de la colline travailleuse. Quand la rue des Pierres-Plantées se prend pour le Bronx, mais ne mène pas ailleurs qu'au Boulevard de la Croix- Rousse, sans ses bruits de métiers mais encore sous la protection de feu l'inventeur Jacquard (en statue), d'un vieux manège, d'un gros caillou. Le tout hors champ, vous vous en étiez aperçus, j'espère... A découvrir toujours tout droit et toujours en montant... Lyon, mars 2009 © Frb.

mardi, 03 mars 2009

Les mots mystérieux...

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Vu sur un tout petit mur près des arrêts de bus, le long du fleuve Rhône, côté presqu'île : un ruban. Un tourment...

Photo: Lyon, à quelques mètres du pont Morand. Mars 2009.© Frb.

lundi, 26 janvier 2009

Le parking de la rue Burdeau

Comme un lundi

" C'est tout de même dur de quitter la campagne pour aller travailler. Quand je pense que dans quelques heures nous serons dans les embouteillages ... "

CHRISTINE ANGRIS : "Quitter la campagne". Editions Graciles. Paris, 2006.

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Photo : Ma petite voiture violette, (une Twingo téléguidée, je ne sais pas conduire), vue sur le parking (n'est ce pas qu'il est charmant?), de la rue Burdeau à Lyon. Ce parking est évidemment le plus beau des parkings de Lyon. C'est pourquoi il est voué à la destruction : bientôt (enfin, je suppose) à cet emplacement, une résidence (grand luxe) se construira, (avec terrasses, digicodes, ascenseurs, garage. etc...) et donc, le trou (vert) c'est pour ça. Image volée entre les grilles d'un échafaudage, un lundi de janvier 2009. © Frb.

samedi, 22 novembre 2008

Tandis que nous coulons...

IMG_0001_2.JPGPris sur le vif, un soir de pluie, à quelques centimètres de la terre ferme, un graff rouge, très héroïque...

Tous les héros savent nager, on le sait bien (sauf peut être "ceusses" en première ligne (d'un parti incertain )... Mais ce ne sont pas tant des héros et nous mettrons ce soir, la tête dans le sable (pour garder notre "ligne ;-) et mieux apprécier près de nous ces "vrais" héros "HAMLET", ou plus étonnamment : Blaise CENDRARS... Nous naviguerons donc hors des cirques et remonterons les flots, tout autant que le cours du temps...

Blaise CENDRARS, en effet, au début du siècle dernier, écrivit dans ses "documentaires" un poème intitulé "JE NAGE" d'une onctueuse limpidité pour un homme qui en avait vu tant. Je ne résiste pas à vous livrer ici  cette prose comme un voyage, correspondance vague et poétique à notre graff (sang et eau) "Shakespearien"... Ou, par ce froid, juste peut-être, un ultime supplément d'été avant l'hiver :

" Jusqu'à la ligne
c'était l'hiver
maintenant c'est l'été.
Le commandant a fait installer une piscine
sur le pont supérieur
Je plonge, je nage,
je fais la planche.
Je n'écris plus, il fait bon vivre"

Photo: Rue Denfert-Rochereau sur le plateau de la Croix-Rousse à Lyon. Novembre 2008 ©.

vendredi, 07 novembre 2008

No chemins

IMG_0061.JPGToujours sur une palissade, une question. Celle ci étant particulièrement tarabiscotée, on peut toujours essayer de la relire, à l'endroit, à l'envers, et d'y répondre, encore faudrait-il savoir d'où viennent "les chemins sans fin qui ne mènent pas " et à quoi ils ne mènent pas. Je compte sur le lecteur charitable pour s'essayer à l'exercice de style.  La vérité étant toujours derrière la palissade... Il faudra de bonnes âmes, des têtes bien faites et des gros bras. Le premier qui trouvera, gagnera  la médaille du mérite de CERTAINS JOURS ainsi que les félicitations de la crémière qui lui remettra en personne son gros paquet d'estime, et un bouquet de violettes( si elle en trouve)... Je sens que ce genre de billet s'expose à un bide véritable, mais comme disait Pierre DE COUBERTIN...

Qu'est ce qu'il disait Pierre DE COUBERTIN ?

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Ca, c'est la question subsidiaire...  Je ramasse dans cinq minutes. Et on ne copie pas sur son voisin !

Photo: Montée de la grande Côte, sur les pentes de la Croix-Rousse à Lyon. Novembre 2008 ©

jeudi, 06 novembre 2008

Nous sommes incas... (suite)

ns sommes incas.jpg

Autre fragment d'un vrai travail d'artiste ( à visée éphémère) sur le format géant de la même palissade en bois. Juste à côté (hors champ) clair et cryptés ces trois mots : " Air - Rice - Fur "  ...

Photo : Rue de Vauzelles pas très loin du boulevard de la Croix-Rousse à Lyon. Novembre 2008 ©

vendredi, 22 août 2008

Quatre petits indiens ...

1135458204-CCC.jpgArt contemporain sauvage, juste à côté du mythique ELAC et de la non moins mythique salle Mermillon, quatre petits indiens (géants) gardent la sortie du parking de la gare de Lyon-Perrache ...

"Quatre petits indiens" à ne pas confondre avec "Dix petits Indiens", le film américain réalisé par RENE CLAIR en 1945, sur la trame du roman des "Dix petits nègres" d'AGATHA CHRISTIE.

Ni avec les "Dix petits indiens", film  réalisé par GEORGE POLLOCK en 1965, toujours inspiré d'AGATHA CHRISTIE; (le terme "indiens" remplaçant celui de "nègres" pour le politiquement correct")

Ni avec le film britannique "Ten little indians" d'ALAN BIRKINSHAW datant de 1989 (autre titre "Death safari").

Pour ce jour (certain;-), les dix indiens qui nous intéressent ( et qui sont en réalité quatre ) restent sans doute les moins connus puisqu'il s'agit du groupe rock de la grande époque de "Boucherie production" : "DIX PETITS INDIENS". Abondamment graffés sur les murs de Pigalle à Bastille en passant par Belleville dans les années 90 et qui firent les grands délices de nos soirées parisiennes. Quelques trop rares traces subsistent dont ce superbe clip  CLICK CLICK à revoir ou à découvrir, (ne me demandez pas si la désynchronisation du clip est volontaire ou malencontreuse, je n'en sais rien). Mais tout ce que je sais, c'est qu'il faut nous méfier des indiens qui dorment à plusieurs sur les écrans et les murs, ils peuvent à tout instant se réveiller. Nous serions ici les premiers à nous en réjouir...

vendredi, 23 mai 2008

Coït céleste

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Hier, fin d'après midi place A. Poncet à Lyon. L'extatique regain de nos fontaines (mes amis quelle leçon !) Serions nous trop petits pour cette ville, cher amour ?  Tu me dis que non ? Pourquoi Non ? Et quelle est cette langue que je ne comprends pas ? Ce charabia. Qu'est ce qui est retrouvée, dis ? C'est qui "elle "? Hein ? (Oui, oui, on cherche !) ...